Léonard considère la terre comme une planète vivante dont tous ses éléments sont en mouvement perpétuel.
Léonard considère la terre comme une planète vivante dont tous ses éléments sont en mouvement perpétuel.
Une seule figure ne peut guère être prise en compte: face à ces catastrophes naturelles, l‘homme est insignifiant, trop petit et désarmé pour mériter qu‘on se souvienne de lui.
Dans d‘autres croquis, des tornades hélicoïdales implacables déferlent sur les feuilles comme si son imagination s‘était arrachée de la normalité de son esprit rationnel pour s‘exprimer en toute liberté.
«La figure est d‘autant plus louable lorsqu‘elle parvient à exprimer à la perfection, par son action, la passion de son âme.»
la sculpture, ...ne réclame que de simples efforts physiques, tandis que la peinture va au-delà d‘un processus mécanique pour incarner l‘art suprême.
Toutefois, il existe une unité au cœur de ses différentes quêtes. En tout domaine, il recherche l‘essence de la «science» partagée qui confère toute crédibilité à ses activités intellectuelles et pratiques. La «science» en ce sens désigne un ensemble systématique de connaissances vérifiées par «l‘expérience», c‘est-à-dire émanant de l‘ordre divin de la nature.